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Channel: IT One - Innovation

Econocom lance Captain DC, le robot qui veille sur les datacenters!

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Econocom lance Captain DC, le robot qui veille sur les datacenters!

Econocom et EOS Innovation, filiale de Parrot, présentent le fruit de leur co-développement: Captain DC, un robot autonome permettant de bénéficier d’une surveillance interne en continu du datacenter et d’une intervention immédiate en cas de besoin. Finalisé fin 2015 à l’issue d’un prototypage concluant, Captain DC sera présent les 15 et 16 juin 2016 au salon Storage Expo de Bruxelles.

 

Captain DC, une innovation née des retours d’expérience terrain

Grâce aux retours d’expérience recueillis sur le terrain auprès de ses experts, Econocom a imaginé le coéquipier robotisé des intervenants en datacenter. L’objectif est de surveiller les infrastructures 24h/7,  de remonter les alertes puis d’accompagner les spécialistes sur site en cas de nécessité. Captain DC remonte continuellement les alertes du datacenter, permet un diagnostic à distance des problèmes techniques rencontrés et accompagne les experts dans leurs actions de maintenance quotidienne. Avec l’ensemble de ses relevés, il permet d’offrir des services de cartographies et d’urbanisation du datacenter.

 

"Captain DC est le fruit d’un travail de co-innovation des équipes R&D d’Econocom avec ses clients et son partenaire EOS Innovation de la société Parrot. La complémentarité de ces expertises a donné naissance à un robot qui répond aux besoins quotidiens de nos clients d’excellence opérationnelle", commente Philippe Borfiga, Directeur Général Adjoint Services Infogérance & Maintenance d’Econocom.

 

Captain DC a été conçu pour remplir 3 grandes missions:

 

Il surveille le cœur du datacenter 24h/24 et 7j/7 grâce à de nombreux capteurs intégrés pour une surveillance à la fois visuelle et sonore, à des seuils que l’homme ne saurait déceler. Il surveille aussi l’hygrométrie et la température de l’ensemble des allées du datacenter. Il est ainsi capable d’anticiper les incidents en cas de relevés anormaux. Il effectue des rondes en toute autonomie, s’adapte à la présence d’obstacles ou de présence humaine et rentre seul à sa base pour se recharger.

 

Il se pilote à distance pour constater et diagnostiquer les incidents relevés et ainsi permettre une décision immédiate des équipes de surveillance.

 

Il accompagne l’intervenant jusqu’au lieu exact de l’incident  et téléporte le support N2-N3 à ses côtés pour l'aider dans ses actions.  Cette fonction permet un diagnostic plus fiable et pour une intervention plus rapide et plus sûre.

 

"Captain DC est le fruit de l’intelligence robotique déployée par EOS Innovation depuis 6 années. Econocom a su l’adapter aux besoins spécifiques de ses clients dans un datacenter: surveillance, remontée d’alertes en temps réel et grâce aux données acquises par le robot, la capacité à apporter du conseil. Econocom est un partenaire stratégique qui,  par ses exigences terrain, nous aide à progresser nous-mêmes", complète Grégory Lebourdais Directeur Communication d’EOS Innovation.

 

Découvrez Captain DC en vidéo.

 

Communiqué de presse par Econocom

 

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Econocom et EOS Innovation, filiale de Parrot, présentent le fruit de leur co-développement: Captain DC, un robot autonome permettant de bénéficier d’une surveillance interne en continu du

Le FabLab du Technoport s'étend au hub créatif 1535°

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Francine Closener, Secrétaire d’État à l’Économie, a inauguré ce 15 juin 2016 l’extension du laboratoire de fabrication numérique (FabLab) du Technoport. L’extension est hébergée dans le hub créatif 1535° à Differdange, un concept unique d'entrepreneuriat ouvert à tous les métiers créatifs.

 

L’incubateur national d’entreprises innovantes Technoport SA dispose ainsi désormais de deux laboratoires: l’un sur le site de Belval doté d’équipements adaptés à du petit prototypage, et l’autre à Differdange avec des équipements plus industriels pour des projets d’envergure.

Technoport SA a été créé en 2012 par l’État luxembourgeois et la SNCI en réunissant sous une même gouvernance les anciennes différentes infrastructures publiques d’incubation, à savoir le Technoport à Esch/Belval et les centres Ecostart à Foetz. Le Technoport a comme mission de favoriser l’entrepreneuriat innovant et technologique au Grand-Duché. L’un des outils pour atteindre cet objectif a été la création en 2013 du premier FabLab "grand public" au Luxembourg.

Depuis 2013, plus de 600 élèves entre 6 et 12 ans participent annuellement à des ateliers pratiques au FabLab sur le site de Belval, plus d’une centaine de projets de prototypage y ont été réalisés en 2015 par des associations sans but lucratif, des PME voire de grands groupes industriels. Suite à ce succès, l’extension du FabLab du Technoport installée au 1535° à Differdange a été équipée aussi de machines plus performantes.

Lors de son allocution, la secrétaire d’État à l’Économie a déclaré: "C'est un partenariat gagnant-gagnant: l’extension du FabLab sur le site du 1535° donne davantage de visibilité au laboratoire de fabrication numérique du Technoport, tandis que le hub créatif arrive avec le FabLab à élargir son offre de services. Ainsi, le 1535° renforce son rôle d’acteur dans l’écosystème national favorable au développement de jeunes entreprises innovantes et créatives."

Diego De Biasio, directeur du Technoport, a insisté sur l’importance pour un incubateur comme le Technoport, de se doter d’une plateforme de prototypage rapide:"Le FabLab est devenu pour nous un pilier fondamental pour favoriser l’émergence de sociétés orientées produits. Aujourd’hui, nous proposons une offre complète à des entrepreneurs technologiques et innovants allant de la validation de leur idée jusqu’au prototypage rapide, permettant d’attirer des startups comme Airboxlab, XDVision ou Makikko. S’agissant d’une plateforme ouverte au public, le FabLab nous a permis de développer des liens intéressants avec le secteur des industries créatives, d’où notre intérêt à héberger cette extension au 1535°."

 

Sources: Ministère de l'Économie, Technoport SA

 

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Francine Closener, Secrétaire d’État à l’Économie, a inauguré ce 15 juin 2016 l’extension du laboratoire de fabrication numérique (FabLab) du Technoport. L’extension est

NetAxis, l'intégration vidéo qui préserve les investissements

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Stéphane Bruyneel, Video Business Unit Manager, NetAxis Solutions

Spécialiste de l'intégration de solutions VoIP, NetAxis Solutions a pris la décision, voicitrois ans, de se positionner sur le marché de la vidéocommunication et, en 2014, l'entreprise a fait l'acquisition de la filiale d’un acteur du secteur. Aujourd'hui, NetAxis met en place des solutions de vidéoconférence, de recording, de streaming et de webcasting chez les clients finaux aussi bien que chez les opérateurs.

 

"Nos compétences en solutions vidéo englobent bien sûr l'offre de Cisco, mais nous commercialisons et intégrons surtout les produits d'Avaya et de Vidyo", explique Stéphane Bruyneel, Video Business Unit Manager de NetAxis. "Les solutions de vidéoconférence de Vidyo, entièrement logicielles, nous semblent d'ailleurs tracer la voie à de nouveaux services innovants, accessibles à partir de n'importe quel terminal, sur base d'une simple connexion Internet, LTE ou 4G", s'enthousiasme-t-il.

 

Injecter de la valeur dans les équipements existants

NetAxis se profile comme une société de services et un intégrateur multimarques. "Nous intégrons la vidéocommunication dans les processus existants chez nos clients, ce qui préserve les investissements en matériel et facilite l'adoption par les utilisateurs. Sur notre marché, très peu de prestataires travaillent de cette manière", note Stéphane Bruyneel. En plus de son expertise technique et de ses solutions d’intégration, NetAxis met également à la disposition de ses clients des compétences en développement applicatif, sur mesure ou sur base d'API, dans le cadre de solutions de vidéoconférence, de recording et de streaming.

 

"Nous fournissons nos services aussi bien aux opérateurs qu’aux intégrateurs ICT", nous dit le responsable des  activités vidéo de NetAxis. "Au Luxembourg, avons ainsi pour partenaires CEL et MIXvoip. Sur certains marchés verticaux, comme les soins de santé, la finance et l'assurance, nous approchons directement le client, sans intermédiaire."

 

La vidéo pour rapprocher l'hôpital du patient

Dans le milieu médical, la tendance est aujourd'hui de rapprocher l'hôpital du patient tout en réduisant la durée des séjours en clinique. "La vidéocommunication s'inscrit précisément dans cette démarche", souligne Stéphane Bruyneel. "Elle permet de mettre le patient en contact visuel avec le docteur à l'hôpital, son médecin généraliste ou d'autres intervenants". Et avec des appareils médicaux désormais connectés, l’hospitalisation à la maisondevient une réalité: "nous pouvons par exemple intégrer à nos solutions de vidéocommunication des appareils de mesure qui permettent aux médecins de consulter à distance des résultats d'examen".

 

D'autre part, NetAxis fait partie des entreprises pionnières en matière d'intégration de la vidéo en WebRTC, un canevas logiciel qui permet d'implanter une solution de communication en temps réel directement dans les navigateurs web. "Le WebRTC est encore en phase de standardisation mais des applications basées sur cette technologie existent déjà, du moins à l'état de pilote, en home banking ou en private banking", affirme Stéphane Bruyneel. Et d'ici peu, des solutions WebRTC devraient permettre d'étendre les fonctionnalités des énormes réseaux d'ATM dont disposent les banques. "Le principe peut être étendu aux compagnies des assurances qui pourraient, grâce à cette technologie, disposer d'informations vidéo en temps réel pour estimer les conséquence d'un sinistre, par exemple."

 

Vivo, le  meilleur des deux mondes

"Nous avons remarqué que lorsqu'un opérateur voulait mettre sur le marché un service vidéo managé, il n'avait que deux possibilités: soit investir dans une solution complète, ce qui représente un investissement lourd mais lui permet de conserver un lien direct avec les clients, soit passer par une société tierce qui héberge son propre service avec l'avantage de diminuer le risque financier et l'inconvénient que les clients appartiennent dans ce cas à la société intermédiaire", raconte Stéphane Bruyneel. Pour résoudre le dilemme vécu par les opérateurs, NetAxis a développé Vivo, une solution cloud qui combine le  meilleur des deux mondes. Vivo est une solution virtualisable, facturée à l'usage (Pay-as-you-Use), ce qui permet de minimiser les coûts initiaux. On peut y intégrer d'autres solutions développées par NetAxis, comme Nemo, une application de network monitoring qui permet de contrôler en temps réel la qualité de la voix, ou Pie, un portail de self-care provisioning qui autorise l’opérateur à déployer un service managé sans être contraint d'assurer lui-même la gestion des clients.

 

Propos recueillis par Michaël Renotte

 

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Spécialiste de l'intégration de solutions VoIP, NetAxis Solutions a pris la décision, voicitrois ans, de se positionner sur le marché de la vidéocommunication et, en 2014, l'entreprise a fait

2020 Disruptive Technologies: the Trends of Tomorrow

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Digital disruption is changing the entire business environment all over the world. Used to describe innovation that improve a product or a service in ways that the market does not expect, the term disruptive is now widely common. During the conference “2020 Disruptive Technologies”, international experts gathered to talk about the trends of tomorrow, innovative apps, artificial intelligence and cloud.

 

The afternoon session started with a panel session that brought together Olivier Lemaire, Partner-EMEIA Telecom Leader, EY ; Taïg Khris, Founder & CEO, Onoff & Three times world ramp skating Champion ; Gilles Babinet, French Digital Champion, European Commission ; Neil Ward, CEO & Founder, NWA Digital, Formerly COO Skype ; Andras Somkuti, President and Chairman of the Board, Docler Holding Luxembourg. During their discussion about the trends of tomorrow, Olivier Lemaire stated that “we are moving towards a smart, connected and mobile world, driven by disruptive technologies”. The panellists covered five trends: the acceleration of the pace of innovation, the change in business models due to the impact of digitalization (e.g. everything as a Service, new security issues), the rise of new industry specific solutions (connected car, connected healthcare, smart home), technology that creates new demands (consumers don’t want to own goods anymore, they want to have access to products and services) and the new wave of data exploitation (big data, data mining, data analytics).

 

According to Cyrille Bataller, Managing Director – Emerging Technology, Accenture, artificial intelligence is “the most disruptive emerging technology on the horizon”. In his presentation entitled “Coming of Age of Artificial Intelligence”, he emphasized that artificial intelligence enables machines to interact with their environment, people and data: “these systems create more intuitive interactions and extend the capabilities of what either human or machine can do on their own”. He also focused on the benefits of Robotic Automotion: “it permits to, in particular, reduce transactional errors, help to provide higher productivity benefits, and reduce cost”.

 

 

Loic Bertin, VP Marketing Group, DATA 4, and Paul Benoit, CEO and founder, Qarnot Computing, explained, during a presentation entitled “Data Center 2020 empowering Big Data, the Cloud and the IoT industries”, that the two companies joined their forces to create a high-performance computing system. Qarnot has developed a computing radiator whose heat source consists of computing microprocessors which are embedded inside the device. These microprocessors provide numerous companies that use simulation or digital animation with computing power in cloud mode. The heat that they create as they operate allows houses and buildings to be heated for free in a greener way. Thanks to the partnership with DATA4, European data center specialist, Qarnot will offer its clients network and storage services in DATA4’s secured data centers. “This system reduces by 75% the carbon footprint of IT calculations, but also the CAPEX and the OPEX. Now, we heat more than 400 people for two years, for free, mainly in France” underlined Paul Benoit.

 

“We think digital revolution is mostly social networks or smartphones. But it’s much more than that. The revolution we live now is called Anthropocene; it means that there is a complete change of the ecosystem in which we live” explainedGilles Babinet, French Digital Champion, European Commission. During his presentation, “A new Era for Humanity, Digital Age and Anthropocene”, he pointed out that we live in an exceptional time, thanks to the digital, and that, as a result, we are hundred thousand times richer than the people who lived centuries ago : “we are going through what I would call a productivity game to an opportunity game. Until recently, it was up to machines, to productivity, to make out the world. Now, this is a new era, everything comes by telecommunications”. Gilles Babinet also emphasized that, thanks to computers’ prices that decreased more and more, we expect all the population for all around the world to be connected to internet by around 2022.

 

 

Taïg Khris came to Luxembourg to talk about his start-up. The Frenchman is a three-time world ramp skating champion who turned entrepreneur and had an ambition: “I wanted to make my sport popular. This is why I decided to jump from the Eiffel Tower”. After explaining all the difficulties he encountered during the organisation of the event and the fear he had just before jumping from the Parisian monument, he brought us 3 years in the past. “I broke my leg and I needed a new Eiffel Tower. But this time, something more serious. This is the reason why I created my start-up and chose the telecommunications industry”. As a result, Taïg Khris and his team developed the application called On Off, which tends to revolutionize the mobile world by creating the first smartphone operating system that is accessible from any phone or computer, anywhere on the planet.

 

The conference ended with a keynote speech given by , Vice President, Made In Space, and entitled “3D Printing in Zero”.  Made in Space, founded in 2010, has developed a manufacturing technology to be used in the space environment. Matthew Napoli explained that manufacturing in Space is a great opportunity: “it is a fast and inexpensive way to manufacture parts on-site and on-demand. This is also a huge benefit if we want to realize long-term missions”. As the first 3D printer arrived on the International Space Station in September 2014, Matthew Napoli added that the printer works there normally: “Some tools it produced came back to Earth. They are exactly the same”.

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Impression 3D : partenariat entre le Luxembourg et Singapour

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Impression 3D : partenariat entre le Luxembourg et Singapour

Une collaboration luxembourgo-singapourienne de haut vol marque un pas supplémentaire vers l’impulsion d’une activité de recherche et l’implantation de la technologie d’impression 3D (fabrication additive) sur le sol luxembourgeois. Le LIST, fort de son expertise dans le domaine des matériaux avancés et procédés, et le SC3DP, leader mondial dans le développement des procédés en fabrication additive, souhaitent collaborer pour développer une nouvelle génération de technologies d’impression 3D à base de matériaux composites, et de multi-matériaux hybrides. Une telle collaboration permettrait l’émergence de nouveaux produits et offrirait au Luxembourg un avantage compétitif, un véritable atout pour l’accompagnement de la mutation de l’industrie  luxembourgeoise et européenne.

 

Le Luxembourg Institute of Science and Technology (LIST), en collaboration avec Luxinnovation et le Fonds National de la Recherche (FNR), a tout récemment jeté les bases d’un partenariat d’envergure avec le Singapore Center for 3D Printing (SC3DP) de l’Université de Technologie de Nanyang (Nanyang Technological University – NTU). Le 21 juin, moins de trois mois après leur première rencontre sur le sujet, une réunion de travail dans les locaux du LIST à Belvaux a permis de développer une feuille de route commune d’un partenariat en recherche et développement, capitalisant sur leur expertise respective en matériaux composites et impression 3D. Ce document s’inscrit dans la volonté du LIST de contribuer à l’avènement au Luxembourg d’un centre national de fabrication additive.

 

Une technologie en devenir

Le LIST, acteur clef de la recherche sur les composites, dont les matériaux composites durables, et le SC3DP centre de recherche singapourien internationalement reconnu pour ses recherches dans l’impression 3D, vont très prochainement unir leurs forces. Derrière cette association de compétences de pointe se cache une grande ambition : explorer les capacités d’impression 3D de matériaux polymères composites. Ensemble, ils vont relever les challenges actuels de ce type d’impression, allant de l’ingénierie de matières premières innovantes à la multifonctionnalité des composites.

 

Technologie d’avenir, l’impression 3D de matériaux polymères composites n’en est qu’à ses débuts et présente un potentiel d’innovation important pour de nombreux secteurs économiques comme l’aérospatial, l’automobile, la marine et l’offshore, la construction, l’industrie manufacturière, le biomédical ou encore l’électronique- Tous ces secteurs seront impactés au cœur de leur métier par les innovations résultant de la maîtrise de cette technologie. La création de nouveaux produits et services associés, de nouveaux marchés et de nouveaux modèles commerciaux sont autant d’opportunités dans lesquelles le Luxembourg entend investir pour développer la compétitivité de son industrie locale et européenne.

 

Les termes exacts du partenariat seront très prochainement définis et développés à l’occasion d’une nouvelle visite luxembourgeoise à Singapour.

 

Communiqué par le LIST

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Une collaboration luxembourgo-singapourienne de haut vol marque un pas supplémentaire vers l’impulsion d’une activité de recherche et l’implantation de la technologie d’impression 3D

ESA: Débat Citoyen sur l’Espace en Europe

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ESA: Débat Citoyen sur l’Espace en Europe

Près de 2.000 citoyens de 22 pays européens membres de l'ESA vont participer au premier Débat Citoyen sur l’Espace en Europe le 10 septembre 2016. Vous êtes invité à être l’un d’entre eux!

 

Une centaine de participants des 22 états membres de l'Agence Spatiale Européenne (ESA) seront réunis pendant toute une journée afin de discuter et de voter sur les mêmes questions. 99 participants du Luxembourg peuvent contribuer à cet échange en s'inscrivant via le lien ci-dessous. 

 

Participation ouverte

Il n'est pas besoin d'avoir des connaissances spécifiques sur l’Espace et les activités spatiales pour participer. Les participants découvriront de quelle façon les applications spatiales ont un impact sur nos vies quotidiennes et comment elles peuvent contribuer à faire face aux problèmes majeurs auxquels notre planète est confrontée. Ce débat vise à collecter les visions et perceptions des citoyens ordinaires pour les présenter aux décideurs. Avant le débat, les participants recevront un magazine sur l’espace et les questions qui y sont liées. Lors du débat des clips vidéo ponctueront les échanges et des facilitateurs guideront les échanges dans les groupes.

 

Les candidats sélectionnés seront représentatifs de la population de leur pays selon des critères socio-démographiques, dans la mesure du possible. Les participants échangeront en petits groupes et auront l’opportunité de débattre et d'exprimer leurs opinions sur l'Espace, les programmes spatiaux et l'avenir des politiques spatiales. Une fois les résultats disponibles et consolidés (dans les 48h suivant le débat), ils seront communiqués à Jan Woerner, Directeur Général de l’ESA et d'autres personnes qui décideront de l'avenir des programmes de l'Agence Spatiale Européenne. Les participants contribueront ainsi à définir les priorités concernant les programmes spatiaux présents et futurs. 

 

Une première pour l'Europe … et pour le Luxembourg

L’Agence Spatiale Européenne fait tout son possible pour être ouverte sur la société et pour renforcer le dialogue avec les citoyens européens. Les vols spatiaux, les sciences spatiales, l’exploration de l'espace, la technologie et l’innovation peuvent aider à répondre aux défis de la société moderne et être une source d’inspiration pour les générations futures.

 

Le Débat Citoyen sur l’Espace en Europe est une première – c’est la première fois que le futur du spatial est abordé lors d’un événement organisé simultanément dans autant de pays par l’Agence Spatiale Européenne (ESA). La coordination globale incombe à l’agence française Missions Publiques avec le concours d'organisateurs locaux dans chaque état membre.

 

Rejoignez 4motion asbl, qui organise le débat au Luxembourg,  le 10 septembre 2016 et participez à cette expérience unique!

 

Adresse du jour : Centre Culturel Tramsschapp , 49 rue Ermesinde L-1469 Luxembourg

N'hésitez pas à diffuser les informations au sujet de cette initiative et contribuez ainsi à inviter le plus de citoyens possible pour s'exprimer sur la politique spatiale !

 

La participation est gratuite, l'inscription en ligne est obligatoire: http://citizensdebate.space

 

Source: 4motion

 

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Près de 2.000 citoyens de 22 pays européens membres de l'ESA vont participer au premier Débat Citoyen sur l’Espace en Europe le 10 septembre 2016. Vous êtes invité à être l’un

La transformation digitale de One Life passe par Microsoft Dynamics CRM et Nerea

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One Life, acteur majeur de la gestion patrimoniale au Luxembourg, a débuté il y a quelques mois une transformation organisationnelle d’entreprise poursuivant l’objectif de renforcer les équipes de collaborateurs par notamment l’implémentation d’un outil de gestion des relations clients approprié (CRM). Quels ont été les critères de choix que l’entreprise a pris en considération pour opter pour la meilleure solution et pour le partenaire le plus adéquat ? Découvrez dans cette vidéo les raisons et les motivations d’Eric Lippert, IT Group Department Head – One Life.

 

 

Source: Nerea

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One Life, acteur majeur de la gestion patrimoniale au Luxembourg, a débuté il y a quelques mois une transformation organisationnelle d’entreprise poursuivant l’objectif de renforcer les

ARTNOLENS: lancement officiel de la plateforme après 24 mois de développement

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« L’art pour tous, l’art démocratisé » c’est ainsi qu’entend se présenter la nouvelle plateforme ARTNOLENS™. Véritable réseau centré sur la culture et l’art, cette galerie connectée grand public met en relation les artistes aussi bien amateurs que confirmés et les passionnés d’art, de toutes disciplines confondues. Voici notre tour d’horizon et quelques explications sur cet ambitieux portail made in Luxembourg !

 

Qui n’a jamais poussé la porte d’une galerie d’art ? Nous sommes nombreux à n’avoir jamais sauté le pas, peut-être souvent par crainte de se sentir peu concerné ou peu « formé » à l’expression de l’art. Or si l’art a bien une vocation, c’est de susciter des émotions et des interprétations chez tout le monde. ARTNOLENS™ se place comme une « Social Platform », plus démocratique, qui permet à chacun de découvrir les œuvres à sa manière.

 

À double entrée, la plateforme internet ARTNOLENS™ permet de créer un compte artiste, ou un compte fan (ou les deux simultanément). Il est possible alors de faire connaître son travail, ou de consulter et apprécier celui des artistes inscrits. Deux lectures, deux utilisations pour des échanges naturels, qui valorisent les disciplines.

 

Rendez-vous sur www.artnolens.com

 

Commiuniqué de presse par ARTNOLENS

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Virtual CPE : une technologie qui promet de changer l’industrie du réseau

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Par Guy Baum.

 

Dans le futur, les nouvelles technologies entourant l’implémentation des CPE (Customer Premises Equipment) auront une grande influence sur la façon dont les clients vont se connecter aux réseaux des opérateurs. Le concept de CPE virtuel (vCPE), facilité par le recours au Software Defined Networking (SDN) et au Network Function Virtualization (NFV), offre par exemple bien des avantages que ce soit pour le client ou l’opérateur.

 

Il faut dire que les CPE traditionnels, tels que la plupart des entreprises les connaissent, impliquent leur lot de problèmes :

- Ils s’adaptent difficilement aux changements technologiques.

- Ils manquent de flexibilité quand il s’agit d’introduire de nouveaux services de façon simple et rapide.

- Ils se complexifient.

- Ils sont de plus en plus difficiles à maintenir car ils nécessitent une configuration manuelle, le plus souvent équipement par équipement.

 

Trois CPE distincts

 

1 – Les CPE traditionnels

Nous l’avons déjà exposé. Les CPE traditionnels pêchent aujourd’hui par leur manque d’adaptabilité. La multiplication des supports quels qu’ils soient dans l’entreprise (smartphones, tablettes, ordinateurs et capteurs de toute sorte) complexifie de plus en plus les environnements réseaux. Sans compter que dans les architectures traditionnelles, de nombreux équipements périphériques doivent être déployés lorsque de nouveaux services (firewall, load-balancer, VPN, …) sont implémentés. Le maintien des CPE traditionnels pour les clients devient alors de plus en plus difficile et coûteux.

 

 

2 – Les CPE multifonctions

Les CPE multifonctions viennent répondre à la nécessaire évolution de l’architecture traditionnelle. De multiples services sont implémentés dans un seul équipement, comme c’est le cas des boîtiers UTM (Unified Threat Management) qui regroupent plusieurs fonctions de sécurité. Ces CPE permettent actuellement à l’opérateur de regrouper plusieurs services dans un seul équipement. Cela représente de nombreux avantages pour le client et l’opérateur en matière de coûts et de complexité opérationnelle et des solutions multifonctions ou multiservices existent aujourd’hui sur le marché luxembourgeois. Le revers de la médaille est une complexité croissante des CPE et une introduction compliquée et lente de nouvelles fonctionnalités.

 

3 – Les CPE virtuels évolutifs (VCPE)

Les vCPE sont capables de virtualiser la plupart des services et fonctions du CPE dans le réseau, ce qui constitue un avantage certain pour répondre aux défis actuels. Ils représentent un minimum de matériel sur le site du client puisque les fonctions traditionnelles du CPE sont déplacées dans le réseau de l’opérateur. Les services réseaux sont également virtualisés chez l’opérateur qui dispose des outils centralisés nécessaires à la virtualisation, la gestion et la maintenance des ressources réseaux comme le « NFV Orchestrator » et le « SDN Controller ».

 

Trois approches potentielles de virtualisation

 

1 – La virtualisation de toutes les fonctions CPE dans le réseau de l'opérateur

 

2 – La virtualisation partagée entre le réseau de l'opérateur et les équipements CPE sur le site

 

3 – La virtualisation de toutes les fonctions

 

Les bénéfices attendus de la virtualisation des CPE

 

Citons la réduction des coûts pour les clients comme pour les opérateurs puisque les vCPE devraient permettre de réduire les frais d’opération réels ainsi que les frais de support et de déploiement sur le matériel. Autre avantage : dans le cas des services directement disponibles chez les opérateurs, les clients pourront aisément les déployer s’ils le souhaitent. La manœuvre via un portail self-service ne devrait prendre que quelques minutes.

 

Afin de déployer des implémentations vCPE et d’en tirer tous les bénéfices, les entreprises luxembourgeoises devront choisir l’endroit approprié pour leurs fonctions virtualisées. Ici, les opérateurs luxembourgeois ont deux cartes importantes à jouer :

 

- la proximité géographique avec le client pour des installations sur site ;

- la garantie que les fonctions réseaux soient virtualisées dans leurs data centres localisés au Luxembourg.

 

Pour lire plus d'articles des ICT Experts Luxembourg, cliquez ici.

 

Source: Les ICT Experts par POST Luxembourg (ictexpertsluxembourg.lu)

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Par Guy Baum. Dans le futur, les nouvelles technologies entourant l’implémentation des CPE (Customer Premises Equipment) auront une grande influence sur la façon dont les clients vont se

Digital HR: le robot Pepper au prochain Petit-Déjeuner HR One

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La digitalisation des RH est en marche depuis déjà plusieurs années. Les solutions de gestion de paie et d'administration, notamment, continuent de se développer, mais de nouveaux outils profitent de la technologie. Ces outils digitaux facilitent l'accès à l'information, à la fois pour les spécialistes RH et pour les employés. Recrutement, management de la performance, succession planning, etc : les RH prennent un tournant 100% digital.

 

Lors de ce petit-déjeuner qui aura lieu le 22 septembre, plusieurs experts locaux, dont Karl Burns (Head of HR, Vodafone) et Anne-Lise Freson (Head of Operations – Data Management, Banque de Luxembourg) partageront leurs bonnes pratiques avec les participants. Le responsable RH de la société de téléphone sera par ailleurs accompagné de Virginie Vast (Head of Cognitive Procurement and Digital Sourcing) mais également de Pepper, développé par SoftBank Robotics, et utilisé pour de nombreuses fonctions administratives. Cette présentation s'annonce à la fois intuitive et interactive. Quant à Anne-Lise Freson, elle abordera notamment la thématique de l'évolution des collaborateurs au travers d'outils digitaux.

 

Date : jeudi 22 septembre 2016

Présentations de 09h00 à 11h00

Accueil et petit-déjeuner dès 08h30

 

Lieu : Etablissement Namur Luxembourg, 2 rue de Bitbourg. L-2011 Luxembourg - Parking gratuit à l'arrière du bâtiment

 

Inscrivez-vous dès aujourd'hui* : team@hrone.lu

 

* No show policy : Les petits déjeuners HR One sont soumis à une procédure de non présentation. Le prix de l´inscription de 55.00€ reste dû à partir du moment où nous enregistrons votre participation. Vous avez toujours la possibilité d'annuler votre réservation au plus tard 4 jours avant le petit déjeuner ou de faire bénéficier un collègue de votre place. Merci de préciser lors de votre inscription la désignation exacte et adresse de facturation.

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La digitalisation des RH est en marche depuis déjà plusieurs années. Les solutions de gestion de paie et d'administration, notamment, continuent de se développer, mais de nouveaux outils

Building the European cities of tomorrow – Part II

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Last week, we published the first part of Ann Hellenius' interview, following the "European CIO of the Year" prize was awarded during ICT Spring 2016. Today, the CIO of the City of Stockholm tells the IT One team about the cooperation between cities, businesses and people when it comes to build a smart city.  It will be one of the key topics addressed on October 4th, for the 6th edition the Luxembourg Green Business Summit.

 

Since demand for better infrastructures and services is increasing but public budget is under pressure, developing smart cities requires new business models and financing solutions for decreasing risk. Capacities must be developed and knowledge itself needs to be shared effectively. How do you cooperate with private businesses, academia, other city's services, NGOs, and ordinary people?

The sheer complexity of a smart city indeed makes cooperation between a large number of stakeholders a requirement – both a larger extent of and more systematical cooperation than earlier. For us, cooperation is a priority: the City of Stockholm already participates in triple helix cooperation with academia and private businesses, such as in the currently ongoing Digital Demo Stockholm project. Here, we explore ways of jointly financing smart city pilot projects. Furthermore, as previously mentioned, citizens’ views were carefully considered when developing the smart city strategy itself: interviews, workshops as well as an online survey eliciting above 3,000 responses.

 

However, even more cooperation is needed to succeed with the strategy. A quadruple helix perspective is preferred, where public organizations, academia, private businesses as well as citizens and NGOs work together towards common goals. Cooperation is needed not only within the city, but also regionally, nationally and internationally. In addition, cooperation is needed with respect to a number of different topics. Technical questions such as what platform to use cannot be addressed by a single department in the City. To name another example, specific projects, such as those pertaining to traffic solutions, may need the City to cooperate with other municipalities in the greater Stockholm area. We are currently actively working with these questions and addressing them systematically as part of the smart city strategy.

 

Connecting – both physically and virtually – city systems is easier said than done. What are the main “pain points” that hold back smart city development?

In order to provide high-quality and uniform services to citizens, connecting city systems is a prerequisite as well as a challenge. Naturally, this challenge is technical in large part, but it is also organizational. As I elaborated on previously, systematic cooperation is a key ingredient also in the technical domain.

 

Smart city-related technologies such as the internet of things, big data, and advanced analytics have developed rapidly during the past few years and no generally accepted standards have emerged so far. This renders it difficult to make some of the important technical choices, as the solution should be relevant for a time to come and robust to technological changes.

 

Furthermore, the extent and use of data collection poses difficult questions. A typical balance is that between individualizing solutions to citizens and respecting their integrity. In part, this question also pertains to the legal domain. For example, new solutions may stretch the definitions of what is included in the City’s general assignment, as that specification was written before these solutions were conceived. In our strategy, an important initial task is to investigate the legal conditions and create guidelines for the various projects that are to be carried out.

 

You have worked with digital issues both in business and in the public sector, including the responsibility for the digitalization of the public schools in Stockholm. What role should education play in the development of smart cities and as a source of smart citizenship?

Education is important for creating a united city with opportunities for everybody, especially in these times of rapid digital development. This is included as one of the objectives we have set up in the smart city strategy: a smart city also means a socially sustainable city. Education plays a key role in opposing a digital divide, i.e. a case where some citizens have less access to or use of the technical solutions the smart city has to offer.

 

It has been recognized in Stockholm’s education system that digital plays a key role, first and foremost by facilitating learning – in general as well as in e.g. environmental questions, relating to smart citizenship. Also, frequent use of digital aids entails that the students gain general experience useful for utilizing other digital solutions in the smart city, reachable by means of a digital unit, i.e. a smartphone, tablet or computer. In the City of Stockholm, the “1:1” project has paired all students in upper secondary school with a digital unit, at no cost for the students or their families. In addition, much effort is made to increase teachers’ digital knowledge, to maximize the effectiveness of the digital tools.

 

However, it should be recognized that some citizens will choose not to participate in all the digital development, for example by refraining from internet or smartphone usage. Our strategy explicitly recognizes that projects and investments should also be made to benefit this group. 

 

Interview by Michael Renotte

 

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Last week, we published the first part of Ann Hellenius' interview, following the "European CIO of the Year" prize was awarded during ICT Spring 2016. Today, the CIO of the City of Stockholm tells

Ronaldinho s’entraine sur la Teqball

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Teqball est un nouvel équipement sportif mais également un sport à part entière qui repose essentiellement sur le football et qui peut servir d'outil de formation pour les pros et les amateurs. Teqball fait partie de Docler Holding, un groupe technologique fondé par Gyorgy Gattyan dont le siège est au Luxembourg.

 

Cette idée novatrice est le fruit du rêve de deux jeunes Hongrois, Gabor Borsanyi et Viktor Huszar, qui voulaient offrir à tous la possibilité de jouer au football à la maison et aider les joueurs à développer technique, capacité de concentration et endurance.

 

« Teqball est un projet détonnant et nous sommes fiers de lancer notre sport au niveau mondial. Nous avons déjà de grands ambassadeurs qui nous soutiennent et qui utilisent la Teqball à des fins de formation mais
aussi pour le plaisir. Au Luxembourg notre ambassadeur est Roby Langers
», explique Viktor Huszar.

Beaucoup de superstars comptent déjà parmi les supporters, la dernière étant Ronaldinho: youtu.be/1zXOQeanTyk.
En outre, de nombreux autres joueurs soutiennent le projet : Roby Langers, lesfrères Koeman,
Marco Materazzi, Lothar Matthäus, Henk ten Cate, Nicolas Anelka, Louis Saha, Gianfranco Zola et Zico
,
pour ne citer que quelques-uns. (www.youtube.com/watch?v=Pdz5zLLuezU)

 « Teqball est idéal pour développer les compétences techniques des joueurs, et ce, tout en s’amusant.
Nous avons développé les tables de manière scientifique après des années de calculs mathématiques et
physiques accompagnés de tests empiriques. Nous sommes très fiers de ce lancement et que des équipes
telles que l'Olympique de Marseille utilisent déjà la table lors de ses entrainements
 », explique Gabor Borsanyi.

 

Communiqué de presse par Docler Holding

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Teqball est un nouvel équipement sportif mais également un sport à part entière qui repose essentiellement sur le football et qui peut servir d'outil de formation pour les pros et les

Digital Lëtzebuerg: Global trends and recent developments discussed

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The Digital Lëtzebuerg working group on Infrastructures held its fifth meeting at the Château de Senningen on 16 September 2016. Open to all interested parties, the agenda announced discussions and updates on the latest global tech trends and the recent developments in Luxembourg.

 

More than 70 representatives from sectorial associations and Luxembourg ICT and tech businesses joined the meeting, chaired by Pierre Goerens and Peter Sodermans from Digital Lëtzebuerg.

 

5G as first topic on the agenda, Christophe Jung from POST Luxembourg described 5G as “the unifying connectivity fabric for the next decade and beyond”. Pierre Goerens drew attention to the recent 5G communication published by the European Commission calling for national 5G deployment roadmaps.

 

Younis Hijazi from Luxinnovation presented the bigger picture of the Internet of Things, the next calls from the European Commission and stressed the need for a holistic approach towards trends like 5G, Internet of Things and cloud. He also underlined the important commitment by Luxembourg stakeholders, and mentioned in this regard SES and their endorsement of the 5G Manifesto.

 

Max Gindt from the Media and Communications Department from the Ministry of State informed on “blockchain beyond virtual currencies” and the group had a lively discussion on how to put Luxembourg on the blockchain map. The “Fundchain” project, a consortium initiative based in Luxembourg and looking at blockchain-based technology destined for transfer agents in the Luxembourg fund industry, was also mentioned.

 

Denis Kiselev, CEO of Snapswap, said that “Luxembourg is a safe place having the unique advantage of a trusted worldwide financial center from where technology can ideally develop”, and noted the interesting work of the Luxembourg Cryptolux research team. He also pointed out an opportunity for Luxembourg to become a global hub for storing and processing digital identities, employing next generation of blockchain solutions.

 

Jean-Marie Spaus, the coordinator of the High performance computing (HPC) project at the ministry of the Economy, informed on Luxembourg’s engagement for HPC, with the ultimate goal of reaching a democratization of HPC applications, which today are still reserved for the big players. “We want to make sure that everyone has an equal and fair access to this facility”, he said.

 

Marc Kohll from ILR, the national regulator, presented the latest statistics on ultra high bandwidth development. In Luxembourg, 60% of households can already have 1 Gb/s download speed, the goal being to reach 100% coverage. Pierre Goerens added that there is a draft law before the Parliament which should facilitate the internal cabling in buildings with multiple flat owners.

 

Source: Digital Luxembourg

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The Digital Lëtzebuerg working group on Infrastructures held its fifth meeting at the Château de Senningen on 16 September 2016. Open to all interested parties, the agenda announced discussions and

Axis investit le marché des systèmes de diffusion audio en magasin

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Axis Communications, leader du marché de la vidéo sur IP, investit le marché des systèmes de sonorisation en magasin avec une offre séduisante de systèmes audio intelligents. « La sonorisation traditionnelle en magasin est en général constituée de plusieurs composants analogiques, et des connaissances en sonorisation sont nécessaires pour installer et configurer correctement ces systèmes. Or, ce nouveau produit forme un système audio complet, qui ne nécessite ni matériel supplémentaire, ni compétence particulière dans le domaine. En plus, ils sont préconfigurés pour un usage immédiat », indique Edwin Beerentemfel, Manager Business Development chez Axis Communications.

 

Le système de sonorisation tout-en-un Axis réunit amplificateur, mélangeur, traitement numérique du signal (DSP), fonction de streaming, micro, alimentation et haut-parleur. Grâce à l’alimentation PoE (Power over Ethernet), un seul câble réseau suffit pour transmettre énergie et données à chaque unité. Ces unités peuvent être associées pour former un système modulaire et évolutif, où ajouter/supprimer un haut-parleur ne demande qu’un instant. Autre atout : leur souplesse de gestion. Vous pouvez en effet commander chaque unité individuellement ou par groupe. En créant des zones rassemblant plusieurs haut-parleurs, il est possible de leur attribuer un fond sonore et des annonces en direct ou préenregistrées spécifiques, mais aussi de régler le volume de chaque unité individuellement ou en parallèle.

 

« Nous avons été à l’avant-garde de la conversion analogique-numérique du marché de la vidéosurveillance, rendant du même coup les systèmes plus intelligents, plus ouverts et plus sûrs. Nous suivons désormais ce même chemin dans le domaine de la sonorisation. Dans un magasin, ces systèmes de sonorisation peuvent non seulement simplifier la gestion des annonces et des fonds sonores, mais aussi harmoniser l’atmosphère et le service sur les différents sites », poursuit M. Beerentemfel.

 

D’une grande sensibilité sur l’ensemble des fréquences audibles, les haut-parleurs AXIS C1004-E et AXIS C2005 sont capables de diffuser un fond sonore de qualité et des annonces parlées claires, qu’il est possible de programmer en fonction des besoins de diffusion. Le fond sonore est lisible sur le lecteur préinstallé AXIS Audio Player. Vous pouvez créer et programmer vos propres listes de diffusion MP3, soit à partir d’une liste locale stockée dans les haut-parleurs (carte mémoire SD), soit à partir de services de streaming audio. D’autre part, vous pouvez programmer des annonces à partir de fichiers audio préenregistrés ou déclencher leur diffusion si une caméra de surveillance détecte un événement donné. En outre, les haut-parleurs prennent en charge le protocole SIP, qui facilite leur intégration aux systèmes de téléphonie VoIP, par exemple pour les annonces vocales en direct.

 

Conçus pour un usage professionnel, ces systèmes de sonorisation sont des dispositifs intelligents qui, grâce au microphone intégré, sont capables de vérifier par eux-mêmes le bon fonctionnement des hautparleurs. Les opérateurs sont ainsi assurés que le fond sonore ou les annonces sont effectivement entendus et que le système diffuse une musique de qualité à tout moment. Proposé en noir ou en blanc, le modèle AXIS C1004-E est à l’épreuve des éclaboussures.

 

Grâce à la prise en charge de la plateforme ouverte ACAP et du protocole VAPIX, les produits sont parés pour l’avenir et les nouvelles solutions de streaming musical.

 

Communiqué par Axis Communications

 

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Bilan intermédiaire pour Fit 4 Innovation

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Lancé en 2014, l’heure du bilan intermédiaire a sonné pour « Fit 4 Innovation ». C’est la Secrétaire d’État à l’Économie, Francine Closener, qui a présenté les excellents résultats du programme en présence de dirigeants d’entreprises participant à « Fit 4 Innovation » ou ayant un fort intérêt à prendre part au programme.

 

Souvent concentrées sur leurs activités quotidiennes, les PME trouvent difficilement les ressources nécessaires pour s’engager dans une démarche d’innovation et d’optimisation de leur organisation. C’est ici que Fit 4 Innovation entre en jeu.

 

Reposant sur 3 angles d’attaque, la réduction des coûts, l’accroissement de la productivité et l’augmentation de la qualité, « Fit 4 Innovation » propose une analyse à 360 degrés de l’entreprise et de ses activités. La PME est alors guidée par des experts en conseil en organisation et en conduite du changement, sélectionnés et encadrés par Luxinnovation.

 

A ce jour, le programme compte à son actif 41 diagnostics et 21 projets réalisés. En effet, le programme comprend deux étapes : une première phase de diagnostic d’une durée de 4 à 6 semaines, pendant laquelle est réalisée l’analyse à 360 degrés de l’entreprise et de ses activités. A ce stade, la PME peut choisir d’entamer la deuxième étape, dite de projet, qui consiste en la mise en œuvre des recommandations issues du diagnostic ; phase pouvant aller de 6 à 24 mois.

 

Toutes les entreprises ayant participé au programme ont pu constater une amélioration sensible et mesurable de leur performance : accroissement de la productivité, dynamisation des ventes, augmentation de la satisfaction des clients ou encore hausse du bénéfice pour ne citer que quelques objectifs atteints.

 

Ces projets ont apporté près de 15 millions d’euros de gains annuels cumulés aux PME soit 430 % de retour sur investissement. Piloté par Luxinnovation et soutenu financièrement par le Ministère de l’Economie, le programme a permis aux PME participantes de bénéficier d’1,5 million d’euros sous forme de subventions. Un film reprenant les retours d’expérience des entrepreneurs ayant pris part à l’aventure a été présenté à l’audience (« Fit 4 Innovation pour gagner en compétitivité »).

 

Rappelant que « Fit 4 Innovation » est une initiative inscrite dans le 4ème plan d’action en faveur des PME destinées à l’amélioration de la compétitivité des PME luxembourgeoises, Francine Closener, Secrétaire d’État à l’Économie, a précisé que « ces résultats sont évidemment profitables pour l’entreprise elle-même, mais aussi et plus largement pour toute l’économie luxembourgeoise ».

 

Jacques Lanners, invité en sa qualité de CEO de Ceratizit, entreprise élevée au rang de « champion européen », a évoqué les facteurs-clefs de succès et les étapes importantes du développement. « Au départ, on a produit ce que les autres ne voulaient pas faire, finalement on a su prendre des risques et saisir de nouvelles opportunités commerciales », a-t-il expliqué.

 

Réunis au sein de l’entreprise Schumacher, également participant à « Fit 4 Innovation », les invités ont pu percevoir de manière concrète les résultats obtenus grâce à « Fit 4 Innovation » lors d’une visite des installations du siège ; de quoi terminer le déjeuner sur une note gourmande tout aussi appréciable.

 

Communiqué de presse par Luxinnovation

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